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Six questions à un ancien résident

Julien C., ancien résident de Châtillon (2009-2011) revient sur son parcours à l’ALJT.

 

ALJT : Pouvez-vous vous présenter ?

Julien C. : Je travaille chez Pfizer, un laboratoire pharmaceutique, en tant que Distribution Quality Assurance Officer. En 2009, j’ai intégré la résidence ALJT de Châtillon pour une durée de deux ans. C’était pratique car je travaillais à proximité. À l’époque, j’avais 23 ans.

 

ALJT : Pouvez-vous nous raconter comment s’est déroulée votre arrivée à l’ALJT ?

Julien C. : Quand j’ai su que j’avais décroché un poste à Paris, c’était un lundi et je devais commencer le mercredi. Heureusement, un couple d’amis a pu m’héberger et j’ai vécu chez eux pendant quelques temps. C’est l’une de ces personnes qui m’a parlé de l’ALJT. Suite à cela, j’ai déposé, via le site, une candidature pour la résidence de Châtillon qui était la plus proche de mon lieu de travail. J’ai reçu une réponse en quelques semaines. C’était très rapide et c’est une expérience que je n’oublierai pas.

 

ALJT : En quoi l’ALJT vous a aidé dans votre parcours ?

Julien C. : L’ALJT m’a aidé à me stabiliser. Trouver un logement à Paris surtout quand on n’est pas sur place, c’est très difficile. C’était comme une colocation mais sans les inconvénients. C’est-à-dire, on avait chacun notre chambre, notre cuisine, notre salle de bain. Mais on vivait toujours ensemble.

L’équipe de la résidence était très présente pour nous aider. Des intervenants extérieurs nous apportaient également des conseils. Il y avait une salle informatique, une salle de sport. C’est quand même du luxe, c’est très appréciable, une résidence qui est au pied du métro, bien située, dans un bon quartier, près de commerces. L’endroit était aussi bien sécurisé, notamment par le fait de ne pas pouvoir héberger de gens. Cela permettait de mieux sécuriser l’immeuble. Le prix est très correct, tout est inclus. Il n’y a rien à payer en plus et c’est appréciable. Même la durée de deux ans, c’est bien, cela permet d’avoir le temps de trouver autre chose.

 

ALJT : L’accompagnement vous a-t-il aidé dans votre parcours

Julien C. : Déjà, cela m’a aidé à me stabiliser ; avoir quelque chose d’adapté pour être bien pour travailler et aussi d’un côté personnel, pour m’aider dans les démarches. C’est très appréciable.

 

ALJT : Si vous deviez dire quelque chose aux résidents d’aujourd’hui, qu’aimeriez-vous leur dire ?

Julien C. : Profitez au maximum ! Faites toutes les activités parce que après ça reste et on peut se faire des amis pour la vie, autant en profiter. Qu’ils en profitent au maximum, c’est quelque chose qui est là pour nous aider. Quand l’équipe organise des choses, il est important qu’on vienne parce qu’ils se démènent pour nous. Il faut leur rendre la pareille.

 

ALJT : Quels souvenirs conservez-vous de ce passage à l’ALJT ?

Julien C. : L’un des souvenirs que je conserve, c’est l’accueil. Il y avait des pots d’accueil qui étaient organisés de manière régulière pour les nouveaux. C’était un moment convivial, de rencontres et d’échanges. Lorsque l’on arrive à Paris et que l’on ne connait personne, ce n’est pas évident et l’équipe faisait tout pour l’on se sente intégré. Il y avait ces pots d’accueil mais aussi des sorties sur Paris dans des musées, en bateaux-mouches. Grâce à cela, j’ai pu rencontrer pas mal de personnes, dont certaines qui sont maintenant devenues des amis, avec lesquelles je suis toujours en contact, et que je vois régulièrement.

Le Rallye Culturel reste une expérience inoubliable. Avec mon équipe nous avons même gagné. Ça permet de découvrir Paris d’une autre manière. C’était une compétition très sympa, on découvrait des endroits de la capitale. Il n’y a pas longtemps, j’ai retrouvé les photos du rallye et j’ai bien rigolé. Il fallait se mettre en scène devant des monuments, par exemple devant l’hôtel de la monnaie il fallait qu’on fasse des photos liées au sujet. Je suis content que ça existe toujours, c’était vraiment une belle expérience.

Quand on débarque à Paris et qu’on ne connait personne à Paris il y a quand même pas mal d’appréhension. Maintenant, quand je passe devant la résidence, ça me rappelle de bons souvenirs.

28/02/2018